Sujet: Les rebelles de la fôret. [Nico] Sam 12 Jan - 11:22
Opium & Nicotine
Les rebelles de la fôret.
Le soleil était bien haut dans le ciel quand je me suis réveillée. C’est fou comme je peux dormir longtemps, en fait je suis une vrai marmotte, mais je ne le fais pas exprès, j’adore dormir. Vous me direz, qui fait exprès de dormir aussi longtemps et la je vous répondrais toute fière : Bhein les ours ! Oui je sais, je ne suis pas un ours. Enfin. Il devait être presque midi et on était samedi, autrement dit on n’avait pas cours aujourd’hui et on était libre de faire tout ce que l’on veut, moi pour l’instant la seule chose que j’ai envie de faire c’est d’aller réveiller Nico. Lui c’est un ours ! Il dort plus que moi, je vous assure que si je ne le réveille pas il pourrait dormir une semaine ! Même lui il sait qu’il dort beaucoup parce qu’à chaque fois que je le réveille il me demande quel jour on est… Affligeant. Bon aller moi je saute sur son lit et je le secoue dans tout les sens en le réveillant, lui mettant mon haleine du matin en plein visage.
« Nico réveille toi il est presque midi on va rater notre journée après ! Nicoooooo !!!! »
Je sais, là vous êtes en train de vous demander comment des premières années peuvent se retrouver dans une chambre mixte. En fait les garçons et les filles n’ont pas le droit de se mélanger quand ils sont en première année, sauf que comme je m’appelle Jack, c’est passé crème dans mon dossier. Moi j’ai prit l’occasion pour partager la même chambre que Nico, je n’irais pas me plaindre, je n’aime pas les gens ce qui est assez contradictoire car je suis très sociable. J’aime être avec des gens mais pas trop longtemps… Je pense que c’est plus clair comme ca. Nicolas est sans doute la seule personne que j’arrive à supporter aussi longtemps, allez savoir pourquoi parce que c’est également la personne qui me tape le plus sur le système. J’avoue, je suis assez contradictoire.
Pendant que je laissais l’autre homme de Cro-Magnon émerger de sa carapace, moi je filais à la douche pour pouvoir faire un semblant de toilette. Etant la plus longue à me préparer, mieux valait que j’y aille pendant qu’il dormait encore. Si à mon retour il n’est pas levé il prendra une douche froide ! En sortant de la douche j’étais en train de me sécher les cheveux quand je vois que Nico avait changé de place, au lieu de dormir paisiblement comme tout à l’heure, il s’était enfouis sous les couvertures comme s’il avait peur du croquemitaine. Je poussais un soupire d’agacement en me dirigeant vers la salle de bain avec un seau puis tout à coup il se levait.
« Ah tu es réveillé finalement ! »
Je souris et sauta sur son lit pour l’enlacer, je suis très tactile avec lui, j’adore le toucher. En même temps il a un corps de rêve, comment ne pas le toucher, le caresser et l’embrasser. Bon moi j’y arrive plus ou moins parce que je suis homosexuelle, je préfère largement les filles mais ca ne m’empêche pas d’avoir des relations avec des hommes. Comme dirait maman « Il faut gouter à tout avant de dire que l’on aime pas. » C’était un peu mon cas, je suis du genre assez libéré donc je ne me prends pas la tête, une fille qui me plait je la baise, un mec qui me plait je le baise aussi. Bisexuelle ? Mouais on va dire ca, sauf qu’à choisir entre une fille et un garçon je prendrais la fille d’abord.
« On va se fumer des pétards près du lac ? »
Je sais employer les mots qui faut pour le convaincre, tout comme moi il ne dira jamais non à un bon pétard. C’était sans doute pour ca qu’on était amis, on avait les mêmes gouts, les mêmes points communs. Je me levais ensuite de son lit pour lui laisser le temps de se poser avant qu’il ne me tape, puis moi je vais chercher des sous-vêtements dans mon armoire tout en laissant tomber ma serviette sur le sol. Je n’étais pas du genre pudique et surtout pas avec mon meilleur ami. Premièrement on a 18 ans alors des corps de femmes je pense qu’il en a déjà vue suffisamment, du moins je l’espère, deuxièmement après avoir couché ensemble je pense que mon corps il pourrait le reconnaitre dans le noir alors bon j’ai pas à avoir honte. Surtout quand j’ai un corps de bombe atomique ! Je n’ai pas un gramme de graisse, aucune tache disgracieuse, pas de boutons, de cicatrice ou autre. J’ai un corps proportionné à ma taille et aussi doux et limpide que du lait. Que demander de plus !
J’optai pour un ensemble de sous vêtement en dentelle, c’était confortable et discret, ca ne me dérangerait pas dans le courant de la journée. Pour finir je mis un baggy en jean avec des Converses, un débardeur moulant qui s’arrête en dessous de la poitrine, des gants troués aux doigts et une multitude d’accessoires de toute sorte. Niveau look vestimentaire, je suis plus une petite punkette qu’autre chose en fait. Mais ca ne me dérange pas, je suis bien dans mes baskets, pourquoi est ce que je prendrais le risque de mettre des talons et de me casser la gueule en me faisant remarquer devant tout le monde, alors que je peux me faire remarquer par tout le monde en marchant normalement ? C’est bête ! Enfin bref, je m’éloigne du sujet. Moi je suis prête, maintenant c’est au tour de Nico.
Sujet: Re: Les rebelles de la fôret. [Nico] Mer 23 Jan - 20:23
Ce que j'aime le plus chez son Summer c'est sa délicatesse, sa douceur, son tact ! Non je plaisante ce sont des mots qui ne fond pas partit de son dictionnaire. La preuve j'essaye de finir tranquillement ma nuit sans rien demander à personne je voulais juste dormir mais Opium n'était pas du même avis... Elle devait donc me réveiller puisque elle se sentait celle je pense personne à faire chier ! Alors elle gesticula dans tout les sens pour m'extirper de mon doux et profond sommeil si seulement elle c'était arrêté la. Non bien sur que non elle devait rajouter sa petite touche personnelle alors elle me cracha son haleine fétide dans le nez... Comment vous dire j'avais l'impression de me trouver dans un marché au rayon ou l'on vend le poisson ! Je me demande si par ce on est dans un dortoir de mec elle doit se comporter comme t-elle ? Heureusement pour moi on ne va jamais au zoo !
Je gardais quand même les yeux fermés ayant l'espoir qu'elle me laisse tranquille pour aller se préparer. Enfin un peu de calme madame avait décidé de me laisse finir ma nuit même si le mot matinée serai plus adapté ! J'ouvre rapidement un œil pour voir ce qu'elle faisait avant de le refermer aussi tôt et de me blottir sous mes couettes. J'ai malheureusement peur que se soit un moment de pour bonheur qui fait s'écourter t-elle que je la connais elle va revenir à la charge t-elle un taureau. Alors autant sortir de ma tanière tout de suite tout le monde gagnera du temps.
« Ma chère Opium ! Toujours un réel plaisir de te voir à mon réveil. »
Avec ses petites jambes elle se propulse sur le lit avant de s'agripper à mon cou comme à son habitude. Un jour elle va finir par me casser quelque chose à force de jeter sur moi ! Je la serre contre mon torse comme si je ne l'avais pas vu depuis un siècle. J'aurai bien dit un millénaire mais bon ça fait quand même un peu trop non ? Peut après notre embrassade matinale je me laisse tomber sur le lit, elle a eu ce qu'elle voulait je m'étais réveillé j'ai bien le droit à cinq minutes de repos. Mais bon elle employa un mot magique qui pourrai me faire grimpé en haut d'une montagne où du moins qui est capable de me faire sortir de mon lit. Elle voulait que l'on sorte fumé au lac bon si c'est pour ça je veux bien me lever.
« Si tu prononce ces mots je vais à la douche immédiatement. Sa te dérange de me faire un café ?
Avant qu'elle ne donne sa réponse je me laisse tombé de mon lit puis je rampe jusqu'à la salle de bain pour mettre quelque chose sur moi pour sortir. J'irai bien en lac dans ma simple tenu d'Adam mais bon on va quand même évité de créer une émeute en ville non ? Une douche ? Pourquoi pas après tout ça m'aidera à réveiller mon cerveau ! Une fois les idées en placent je sors de la salle de bain prendre des habits dans la chambre profitant de cet instant pour faire un clin d’œil à Summer Moi tête en l'air ? Bien sur que non ! Je prends un caleçon et un jean que j'enfile rapidement puis une chemise à carreau qui traînait dans un coin et une père de Vans !
« Opium ! Je suis prêt, on peut y aller si tu veux une fois que j'aurai bu mon café ?
Je me roule une cigarette puis je m'affale sur mon lit avant de l'allumé en attendant sa réponse